Une femme enceinte grièvement blessée est évacuée de la maternité de Marioupol, en Ukraine, après un bombardement russe, le 9 mars 2022. La mère et son bébé n’ont pas survécu. EVGENIY MALOLETKA / AP
Du 23 février au 15 mars, ils ont à tout prix diffusé leurs images au monde depuis les ruines de cette ville de 400 000 habitants. Couvrir une guerre dans son propre pays, comme l’Ukraine, touche « l’âme, le cœur », confient-ils. “Ces vingt jours ont été comme une longue journée interminable, du pire au pire”, a déclaré à l’AFP Evgeny Maloletka, 35 ans, photographe de l’Associated Press (AP) toujours dans son pays. , où “on n’a pas le temps de récupérer comme d’autres journalistes qui passent un mois puis rentrent chez eux”. “De toutes les choses que j’ai couvertes, c’était de loin la plus dangereuse, avec nulle part où aller pour la sécurité”, a déclaré Mstyslav Chernov, 37 ans, photographe et vidéaste de formation pour l’AP, qui a déclaré : “Nous ne reprenons pas un histoire comme ça, passons à autre chose. ! » Les images de Sergei Supinsky de cadavres de civils dans les rues de Bucha en mars appuient désormais une plainte de l’ONU concernant les crimes de guerre de la Russie en Ukraine.
title: “Kyiv Accuse La Russie D Avoir Bombard Enerhodar La Ville O Se Trouve La Centrale Nucl Aire De Zaporijia. L Aiea Poursuit Sa Visite Klmat” ShowToc: true date: “2022-10-21” author: “Ruby Girdler”
Une femme enceinte grièvement blessée est évacuée de la maternité de Marioupol, en Ukraine, après un bombardement russe, le 9 mars 2022. La mère et son bébé n’ont pas survécu. EVGENIY MALOLETKA / AP
Du 23 février au 15 mars, ils ont à tout prix diffusé leurs images au monde depuis les ruines de cette ville de 400 000 habitants. Couvrir une guerre dans son propre pays, comme l’Ukraine, touche « l’âme, le cœur », confient-ils. “Ces vingt jours ont été comme une longue journée interminable, du pire au pire”, a déclaré à l’AFP Evgeny Maloletka, 35 ans, photographe de l’Associated Press (AP) toujours dans son pays. , où “on n’a pas le temps de récupérer comme d’autres journalistes qui passent un mois puis rentrent chez eux”. “De toutes les choses que j’ai couvertes, c’était de loin la plus dangereuse, avec nulle part où aller pour la sécurité”, a déclaré Mstyslav Chernov, 37 ans, photographe et vidéaste de formation pour l’AP, qui a déclaré : “Nous ne reprenons pas un histoire comme ça, passons à autre chose. ! » Les images de Sergei Supinsky de cadavres de civils dans les rues de Bucha en mars appuient désormais une plainte de l’ONU concernant les crimes de guerre de la Russie en Ukraine.